Le premier roman de Sophie Astrabie que j’ai lu était « la somme de nos vies »
et c’est ma fille Claire qui me l’avait conseillé.
J’ai aimé et j’ai acheté le deuxième « le bruit des souvenirs », je l’ai dévoré.
Alors c’est tout naturellement que j’ai acheté le troisième « Billie Pretty a disparu ».
Sophie Astrabie à cette faculté d’écrire avec légèreté des histoires qui ne le sont pas, légères et c’est beau.
Elle écrit des histoires émouvantes mais sans pathos et on ne peut plus les lâcher.
Elle agace un peu Billie avec ses évitements, mais finalement… Allez, je vous laisse le découvrir.
Merci Claire, promis je te passe celui-ci. 😊
Je vous partage quelques phrases que j’ai adorées.
Vous avez lu cette autrice ? Vous aimez ?

“Comme à mon habitude je descends l’escalier à toute vitesse en comptant les marches.

Mais à la neuvième, je manque de trébucher sur une drôle de forme.

Ni ronde, ni ovale, c’est une forme qui a les contours d’un garçon.”

“… Et j’ai parfois l’impression que nos conversations sont de grands textes à trous.”

“Elle conduisait comme si elle cherchait en permanence une place pour se garer.”

“Il y a un objet pour chaque acte de sa vie

et sa vie ressemble à des cadeaux de Noël offerts par un cousin éloigné.”

“… Je ne sais pas bien dans quel camp se situe l’abandon.

Car si c’est moi qui pars, j’ai bien conscience qu’elle ne me retient pas.”

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